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Le Faucheur Avocats : un bond de productivité grâce à la digitalisation

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Croissance du chiffre d'affaires en 2 ans

Le Faucheur Avocats : un bond de productivité grâce à la digitalisation

Fiche d’identité

Création en 2000

Expertise: Droit social, contrôle URSSAF, gestion des accidents du travail et maladies professionnelles, optimisation des charges sociales

Equipe : 5

Localisation : Paris 17ème

Forme : SELARL

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Entrepreneur avant d’être avocat

Vincent Le Faucheur se considère comme un chef d’entreprise à part entière. Pour lui, quelle que soit la taille du cabinet, on y retrouve systématiquement les codes du monde de l’entreprise : nécessité d’un business plan pour élaborer son projet, développement d’une marque employeur pour recruter et fidéliser les talents… Au centre de cet écosystème, l’avocat est un prestataire de service à la recherche de la qualité et de l’efficacité.

Lors de la création du cabinet, en 2000, la publicité n’était pas encore permise pour la profession. Pour se faire connaître, Vincent Le Faucheur a donc décidé d’axer sa communication autour de son activité de formation professionnelle. Pour le cabinet, cette activité a également un fort intérêt financier et commercial : grâce à ces prestations de formations, qui sont le plus souvent récurrentes, le cabinet peut garder un contact plus suivi avec ses clients ; et ainsi, il s’assure également des revenus plus réguliers.

La formation professionnelle est un marché fort concurrentiel. Pourtant, il découvre rapidement qu’il existe une pénurie d’offres auprès de certaines cibles, comme par exemple les agences de travail temporaire ou les petites structures. C’est ainsi que l’activité a commencé à décoller.

« J’ai toujours eu une âme d’entrepreneur, même avant d’exercer mon métier d’avocat. C’est ce qui me permet de construire la stratégie du cabinet à long terme, en cherchant la croissance par l’innovation. »

Vincent Le Faucheur

La digitalisation dès les débuts

Extrait de MOOC présenté par Vincent Le Faucheur

Au début des années 2000, la digitalisation est encore un concept bien abstrait pour nombre d’entreprises et de cabinets d’avocats. Mais pour un passionné d’innovation, cela devient naturellement un axe majeur autour duquel la construction du cabinet va s’articuler.

  J’étais parmi les premiers à avoir eu un abonnement internet, mais j’ai eu un véritable déclic lorsque j’ai réalisé à quel point le monde digital facilitait le partage d’informations », se souvient Vincent Le Faucheur. C’est ainsi qu’il devient le premier cabinet d’avocats français à proposer un MOOC.

En parallèle, dans le cabinet, il se met également à traquer toutes les actions qui font potentiellement perdre du temps (aller à la poste, faire ses notes de frais, gérer ses réservations de train ou d’hôtel…). Méthodiquement, il cherche quels outils pourraient soulager ses équipes sur chacune de ces tâches afin que chacun puisse se consacrer à son cœur de métier.

Cela n’a pas toujours été facile : même pour les plus jeunes, modifier ses habitudes de travail demande des efforts. Aussi, il a mené dès le départ, et encore aujourd’hui, une politique de conduite du changement pour accompagner ses équipes et les encourager.

La digitalisation dès les débuts 

Extrait de MOOC présenté par Vincent Le Faucheur

Au début des années 2000, la digitalisation est encore un concept bien abstrait pour nombre d’entreprises et de cabinets d’avocats. Mais pour un passionné d’innovation, cela devient naturellement un axe majeur autour duquel la construction du cabinet va s’articuler.

« J’étais parmi les premiers à avoir eu un abonnement internet, mais j’ai eu un véritable déclic lorsque j’ai réalisé à quel point le monde digital facilitait le partage d’informations », se souvient Vincent Le Faucheur. C’est ainsi qu’il devient le premier cabinet d’avocats français à proposer un MOOC.

En parallèle, dans le cabinet, il se met également à traquer toutes les actions qui font potentiellement perdre du temps (aller à la poste, faire ses notes de frais, gérer ses réservations de train ou d’hôtel…). Méthodiquement, il cherche quels outils pourraient soulager ses équipes sur chacune de ces tâches afin que chacun puisse se consacrer à son cœur de métier.

Cela n’a pas toujours été facile : même pour les plus jeunes, modifier ses habitudes de travail demande des efforts. Aussi, il a mené dès le départ, et encore aujourd’hui, une politique de conduite du changement pour accompagner ses équipes et les encourager.

Une gestion optimisée avec Diapaz

Les collaborateurs sont équipés de matériel informatique performant, avec 2 écrans pour un meilleur confort de travail.

La rencontre avec les équipes de Diapaz intervient en 2012. A l’époque, il a fait le tour des logiciels du marché et la technologie dominante client/serveur (achat d’un logiciel installé sur un serveur local) semble inadaptée à sa vision. En effet, avec son activité de formation, il est très souvent en déplacement, travaille également beaucoup depuis son domicile, et a donc grandement besoin d’un logiciel accessible à distance.

Diapaz est encore une marque toute jeune et le mode de fonctionnement de ses outils, le SaaS (Software as a Service), n’est pas encore très répandu. « Je ne connaissais pas ce système mais il m’a vite intéressé : le Cloud permet une grande flexibilité, avec des solutions accessibles sur le web où que l’on se trouve, et sans installation préalable. De quoi enfin remplacer le disque dur externe que j’étais obligé de transporter partout avec moi, craignant sans cesse d’en perdre le contenu ! »

Vincent Le Faucheur n’a donc pas tardé à choisir Diapaz, qui de plus proposait une solution complète pour gérer son système d’information : le logiciel métier bien sûr, mais aussi la téléphonie, la messagerie électronique, la gestion des documents et la maintenance informatique. Cela intégrait parfaitement sa vision stratégique : en réduisant le nombre de prestataires, il réduisait d’autant le temps passé à des tâches chronophages.

La mise en place a été un succès et il a pu constater des gains de productivité significatifs.

« Je mettais une journée entière pour effectuer mes relances sur les factures impayées. Grâce à Diapaz, cela ne me prend plus que 15 minutes ! »

Vincent Le Faucheur

Et l’avenir ?

Le cabinet continue sa belle histoire et la croissance est au rendez-vous. Le prochain palier complexe s’approche : si les effectifs augmentent, il sera bientôt nécessaire d’investir dans des locaux plus grands. Le chef d’entreprise s’est donc attelé à rentabiliser l’activité pour anticiper l’augmentation prévisible de ses charges.
Au-delà de Diapaz, c’est tout un écosystème d’outils digitaux dont s’est équipé le cabinet, afin de gagner du temps sur un maximum de tâches, de la gestion des notes de frais à l’optimisation des agendas en passant par l’aide à la rédaction de documents.

    « Pour pouvoir embaucher à l’avenir et potentiellement investir dans des bureaux plus grands, le cabinet avait besoin de mieux se structurer pour pouvoir supporter les coûts (amortir l’investissement). Au cours des 2 dernières années, nous avons ainsi pu augmenter le CA de 30% avec le même nombre de collaborateurs. »

    Vincent Le Faucheur

    Pour l’instant, cette stratégie a montré des résultats très encourageants qui confirment l’intuition du dirigeant. Parmi les projets en cours, le cabinet a choisi de s’équiper de licences Microsoft 365 : cela permet d’accéder à une version SaaS des logiciels de bureautique habituels (Word, Excel…) qui est en conformité avec l’esprit du cabinet. Mais cela apporte aussi de nouveaux outils très prometteurs, notamment Teams, application collaborative pour favoriser l’échange d’informations en interne comme en externe, Sharepoint, pour stocker, partager et co-éditer des documents, et Power BI, pour analyser en profondeur l’activité du cabinet.

    A quand les nouveaux locaux ? Affaire à suivre ?

    Et l’avenir ?

    Le cabinet continue sa belle histoire et la croissance est au rendez-vous. Le prochain pallier complexe s’approche : si les effectifs augmentent, il sera bientôt nécessaire d’investir dans des locaux plus grands. Le chef d’entreprise s’est donc attelé à rentabiliser l’activité pour anticiper l’augmentation prévisible de ses charges.
    Au-delà de Diapaz, c’est tout un écosystème d’outils digitaux dont s’est équipé le cabinet, afin de gagner du temps sur un maximum de tâches.

    Parmi ces outils, on peut citer notamment :

    • Une assistante virtuelle qui aide à l’optimisation des agendas (1 journée de travail gagnée par mois en moyenne)
    • Une solution de robotisation des actes qui permet de réduire le temps de création des documents et d’harmoniser les modèles pour tout le cabinet
    • Un moteur de recherche juridique performant pour trouver l’information plus rapidement et de manière plus exhaustive
    • Une carte individuelle pour payer les frais professionnels sans avoir à faire l’avance personnellement, et avec une récupération automatique des données par l’expert-comptable

    « Pour pouvoir embaucher à l’avenir et potentiellement investir dans des bureaux plus grands, le cabinet avait besoin de mieux se structurer pour pouvoir supporter les coûts (amortir l’investissement). Au cours des 2 dernières années, nous avons ainsi pu augmenter le CA de 30% avec le même nombre de collaborateurs. »

    Vincent Le Faucheur

    Pour l’instant, cette stratégie a montré des résultats très encourageants qui confirment l’intuition du dirigeant. Parmi les projets en cours, le cabinet a choisi de s’équiper de licences Microsoft 365 : cela permet d’accéder à une version SaaS des logiciels de bureautiques habituels (Word, Excel…) qui est en conformité avec l’esprit du cabinet. Mais cela apporte aussi de nouveaux outils très prometteurs, notamment Teams, application collaborative pour favoriser l’échange d’informations en interne comme en externe, Sharepoint, pour stocker, partager et co-éditer des documents, et Power BI, pour analyser en profondeur l’activité du cabinet.

    A quand les nouveaux locaux ? Affaire à suivre ?

    Nos clients en parlent

    Véronique Klein,
    Directrice administrative, Cabinet KGA Avocats

    « Diapaz c’est à la fois un logiciel métier qui nous permet de gérer nos dossiers en temps réel avec les autres membres du cabinet et avec nos clients, et un système d’information complet qui regroupe les éléments juridiques et financiers d’un dossier.”

    « La mise en place de Diapaz nous permet de faire un pas supplémentaire vers la sécurisation de nos données et de celles de nos clients. La solution est RGPD compatible. Nous traitons des données sensibles et être préservé des cyber-attaques est une priorité pour nous. »

    Olivier Sanviti

    Associé, cabinet Aston

    « Nous sommes très satisfaits de Diapaz comparativement à ce que l’on a connu en grands cabinets. L’investissement est rentabilisé par le gain de temps : nous pouvons nous concentrer sur l’essentiel de notre travail d’avocat. »

    Fabien Courvoisier

    Avocat associé, cabinet SoLegal

    Nos clients en parlent

    Véronique Klein,
    Directrice administrative, Cabinet KGA Avocats

    « Diapaz c’est à la fois un logiciel métier qui nous permet de gérer nos dossiers en temps réel avec les autres membres du cabinet et avec nos clients, et un système d’information complet qui regroupe les éléments juridiques et financiers d’un dossier.”

    « La mise en place de Diapaz va nous permettre de faire un pas supplémentaire vers la sécurisation de nos données et de celles de nos clients. La solution est RGPD compatible. Nous traitons des données sensibles et être préservé des cyber-attaques est une priorité pour nous. »

    Olivier Sanviti

    Associé, cabinet Aston

    « Nous sommes très satisfaits de Diapaz comparativement à ce que l’on a connu en grands cabinets. L’investissement est rentabilisé par le gain de temps : nous pouvons nous concentrer sur l’essentiel de notre travail d’avocat. »

    Fabien Courvoisier

    Avocat associé, cabinet SoLegal